Les relations homme(s)-femme(s), tant par considérations personnelle, locale qu'internationale, n'ont pas à mon sens actuellement les qualités souhaitables pour me laisser penser que l'insémination artificielle soit en phase avec ce temps.
Les relations homme(s)-femme(s) sont plus le fait d'égoïsme, de manque compensé par l'autre, de possessivité et d'exclusivité réelle ou prétendument voulue comme tel, sans parler d'argent; alors qu'il faut à mon sens des relations plus altruistes, de confiance en soi, de liberté et d'ouverture d'esprit, sans parler d'amour.
Ces réflexions m'ont donc amenés à poser comme préalable à toute forme artificielle de procréation, celui d'une société faite d'individus plus accomplis et en nombre suffisant pour envisager sereinement d'élargir le champ du possible en matière de don de la vie.
Et d'en rester pour l'instant à la conclusion personnelle que: ne pas ajouter de souffrance dans ce monde c'est déjà pas mal...
Par conséquent je m'abstiens jusqu'à des jours meilleures de faire don de mon sperme en vue de procréer et d'éventuellement reréfléchir l'insémination artificielle.
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